Serge, je te ferai vivre au travers de ces moments forts partagés qui ont bercés mon enfance. Impatiente, chaque été de voir votre voiture passer en bas du chemin au Frêne. De vous voir débarquer, c’était le signe pour moi du début des vacances. Les garçons, mes fidèles compagnons de jeux, les tablées joyeuses avec « cache ta joie », la récolte des patates qui nous a value une nouvelle souillarde grâce à Gand-Mère Yvette et ses talents de pyromane », ce sont tous ces bons moments que je raconte avec plaisir qui te feront perdurer parmi nous.
Aujourd’hui j’ai une pensée très forte pour les enfants bien sûr, et pour Thérèse que je connais peu mais suffisamment pour savoir combien sa douceur était la personne qu’il te fallait.
Je fais partie de ces personnes qui avancent dans la vie avec l’idée que vous êtes tous, d’une autre manière, à veiller sur nous grâce à ce que vous nous avez transmis alors maintenant que tu es délivré de ta souffrance, repose en paix Serge et merci.